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Mbanza-Ngungu : deux personnes blessées à la machette au quartier Noki

Il aura fallu que quelques mois dans la cité de Mbanza-Ngungu pour voir l’insécurité reprendre avec acuité. Le dernier cas en date est celui enregistré mercredi 17 août au quartier Noki vers le réservoir, non loin de l’Institut supérieur pédagogique de Mbanza-Ngungu aux alentours de 20 heures. « Il s’agit d’un jeune homme qui revenait […]

Il aura fallu que quelques mois dans la cité de Mbanza-Ngungu pour voir l’insécurité reprendre avec acuité. Le dernier cas en date est celui enregistré mercredi 17 août au quartier Noki vers le réservoir, non loin de l’Institut supérieur pédagogique de Mbanza-Ngungu aux alentours de 20 heures.

« Il s’agit d’un jeune homme qui revenait paisiblement de ses courses pour se rendre à la maison qui, a été surpris vers le réservoir non loin du rond ISP/Mbanza-Ngungu. Des personnes munies des machettes l’ont assiégé pour lui ravir son sac. Ce dernier après avoir résisté à leurs intimidations a été copieusement à la machette à la tête avant que son petit frère ne vienne à son secours. Lui aussi, comme son grand-frère a subi le même sort, il a été blessé à la main.Toutes les tentatives des cris poussés sont restés vains.”, témoigne un habitant du quartier Noki à Kongo Média.

Ces personnes non autrement identifiées seraient venues de la cellule Zamba vers le camp Sénégalais au quartier Disengomoka révèle la même source.

« Ces hommes ne sont pas du quartier Noki, ils sont de la cellule Zamba vers le camp Sénégalais. Ils commencent à venir faire des désordres sachant que la ville est habitée par des personnes ayant des parcelles clôturées”,a-t-il fait savoir.

Fort des blessures subies, les victimes ont été vite acheminées dans un hôpital de la place pour des soins appropriés.

Malgré l’opération lutte contre le kuluna qui a porté des fruits, les germes de l’insécurité resurgissent avec ampleur de quoi pousser les habitants de cette partie paisible de Mbanza-Ngungu à se faire des cheveux blancs. Les habitants sollicitent l’implication de la police à intensifier les patrouilles nocturnes pour traquer ces personnes non encore identifiées.

Frédéric Nkedi

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