La cérémonie d’investiture du Président réélu Félix-Antoine Tshisekedi a bel et bien eu lieu ce samedi 20 janvier au stade des Martyrs de la Pentecôte devant ses pairs Chefs d’Etats africains, les chefs des institutions et organisations et le peuple congolais.
Dans son discours inaugural de son second mandat, le Président de la République a rendu un vibrant hommage aux congolais ayant perdu la vie suite à la guerre d’agression à l’Est.
Un engagement ferme pour ce second mandat de respecter les six (6) engagements au cours de son quinquennat. Il s’agit de :
- La création de plus d’emplois ;
- Protéger le pouvoir d’achat ;
- Plus de sécurité pour tous ;
- Bâtir une économie plus diversifiée et plus compétitive ;
- Assurer l’accès aux services de bases, à l’enseignement, à la santé, à l’électricité pour tous ;
- Avoir des services publics très efficaces.
Un engagement ferme pour ce second mandat de respecter les six (6) engagements au cours de son quinquennat. A ces engagements s’ajoutent le développement des chaînes de valeur agricole et autres qui accompagneront d’autres initiatives présidentielles.
En outre, Félix Tshisekedi a remercié ses compagnons de lutte qui ont concouru à son élection en l’occurrence sa plateforme politique qu’est l’Union Sacrée de la Nation et son parti politique l’Union pour la Démocratie et le Progrès Social. Aussi, sans oublier les opposants qui ont su compétir à l’élection présidentielle.
Il dit avoir entendu les plaintes de la population durant la campagne et pris conscience de l’instabilité du franc congolais et la création de l’industrie pour lesquelles les actions visibles seront menées.
Il a déploré la complicité des pays voisins qui veulent à tout prix mettre en mal les intérêts du Congo. A cela, il dit mesurer l’ampleur des tâches qui l’attendent et les attentes de la population relativisant que le bâton de commandement qui lui a été accordé sera transformé en véritable feu sacré.
Tirant les leçons de l’expérience passée, Félix Tshisekedi s’engage à veiller à ce que les erreurs du passé ne se reproduisent plus. Pour lui c’est une nouvelle ère qui commence, celle de maturité, de ne jamais trahir le Congo et du renouveau.
Frédéric Nkedi