L’Honorable Pierre Kabangu Nsalamba a appris avec stupéfaction les messages qui circulent dans les réseaux sociaux selon lesquels, il aurait participé à une réunion occulte qui viserait la déstabilisation des institutions provinciales du Kongo Central.
Il tient avant tout à rappeler la communauté Kongo que l’esprit républicain qui l’a toujours caractérisé lui interdit formellement de comploter contre les institutions de sa chère province du Kongo Central, envers lesquelles l’Honorable Pierre Kabangu voue un grand culte et pour lesquelles il a toujours été conciliant dans le règlement des différends. Tout le monde le sait.
Il réitère sa volonté de la culture de la vraie cohésion provinciale afin qu’ensemble, filles et fils Kongo, travaillent pour un développement harmonieux de notre Province.
Il tient à préciser que c’est depuis le 20 août 2024 qu’il se trouve dans la terre de ses ancêtres pour rendre compte de ses actions parlementaires à ses électeurs. Après avoir circulé le Territoire de Mbanza-Ngungu, il s’est rendu à Matadi pour entamer la deuxième phase de ses activités des vacances parlementaires, consacrées à la rencontre des autorités provinciales et des partenaires pour essayer de trouver des solutions à certaines urgences de sa base électorale.
En outre, il a préparé une série d’édits pour le développement de sa Province et ne souhaite aucunement un désordre pouvant l’empêcher de les faire voter et les mettre en exécution.
Ses avocats conseils mettent sévèrement en garde les auteurs de ses articles ainsi que leurs commanditaires et se réservent le droit de les attraire en justice en cas de nécessité pour qu’ils apportent les preuves de ce qu’ils allèguent.
L’Honorable Pierre Kabangu Nsalambi considère ses âneries comme une ‘‘provocation de mauvais goût’’. Il invite les animateurs des institutions provinciales au travail sur base duquel elles seront évaluées au lieu de verser dans les montages de bas étage.
Pour clore, il informe toute la population qu’il ne s’est jamais rendu à Kinshasa, depuis le début de ses vacances parlementaires. Il le fera maintenant qu’il a fini l’obligation réglementaire de séjourner au moins un mois dans sa circonscription.