Toute personne, du moins celle avec toutes les facultés humaines, aspire à un vivre avec un minimum de vie hautement obligatoire dans son environnement. Dans ce minimum on peut citer notamment les toilettes, le marché, l’école et le cimetière n’est pas en reste.
Pour le dernier élément cité, à Inkisi où, il faut le noter, toutes ces agglomérations officielles à savoir, Gare, Kikonka, Nkandu auxquelles on doit ajouter ce qui était autre fois la Cité de Kintanu avec les quartiers Carrière, Wombo, Kimbondo, Mfuki et Wete, Inkisi connait une expension démographique remarquable, qui soulève des questions auxquelles l’Autorité locale doit faire face dans l’élan préventif.
C’est actuellement avec le cimetière. Au delà de tout, malgré la présence des églises et autres révélateurs, l’homme finira par mourrir
Au départ, il y avait le cimetière de Mfuki. Depuis les années il est saturé et sur l’endroit, les maisons d’habitation ont poussé. Donc l’espace loti. Le cimetière du quartier Genève situé dans l’agglomération de la Gare derrière la cathédrale ainsi que l’autre situé derrière le centre Emmaüs ont apporté un secours, mais pas pour longtemps, l’espace étant moindre, le cas de celui de Genève, il est saturé.
Le seul qui reste encore en ce moment est celui de Kinsuka derrière le centre Emmaüs. Ce dernier aussi, selon l’ayant droit appelé communément Simple Bord, dans plus ou moins une année et demi, il n’y aura plus d’espaces et l’enterrement des morts posera des sérieux problèmes.
Ce constat, invite les autorités administratives locales d’y réfléchir pour songer à la solution avant qu’il ne soit trop tard.
Ilain LUMBALA