À l'instar du reste du pays, la rentrée scolaire 2025-2026 a été effective ce lundi 1er septembre dans la province du Kongo Central. Alors que la ministre nationale de l'Éducation, Raïssa Malu, a officiellement lancé l'année scolaire à Moanda, les écoles de Matadi ont accueilli un nombre limité d'élèves, une situation qui devient malheureusement une habitude chaque année.
Après près d’un mois de vacances scolaires, les établissements de la cité de Kinzau-Mvuete, dans la sous-division provinciale de l’Éducation nationale et nouvelle citoyenneté (Edu-Nc) Seke-Banza 1, ont ouvert leurs portes ce lundi 1er septembre 2025, date officielle de la rentrée scolaire 2025-2026.
La ministre d’État en charge de l’Éducation nationale et de la Nouvelle citoyenneté, Raïssa Malu, a lancé la rentrée scolaire 2025-2026 ce lundi 1er septembre. La cérémonie a eu lieu à l’école primaire conventionnée catholique Saint-Louis de Moanda, considérée comme la première école primaire de la RDC et d’Afrique centrale, inaugurée en 1889.
Le député provincial Thomas Yobila Dianzenza a effectué, samedi 30 août, une visite d’inspection des travaux de réhabilitation de la route dite « boucle d’Inkisi » dans le territoire de Madimba. Accompagné de son assistant parlementaire Jean Kivika, il a débuté la tournée par la cathédrale de Kisantu, où la phase de bétonnage de la chaussée est en cours, suite à la construction récente des caniveaux de chaque côté de la route.
Un camion-remorque a fait une chute dans un ravin aux « Six virages » à l’entrée de Matadi dans le territoire de Songololo. Un bilan d'au moins un mort et d’importants dégâts matériels.
En prélude au dialogue politique en République Démocratique du Congo, Devos Kitoko Mulenda, secrétaire général du parti politique Engagement pour la Citoyenneté et le Développement (Ecidé), a animé une matinée politique le samedi 30 aoûts à Seke-Banza, au Kongo Central.
La sénatrice Néfertiti Ngudianza Bayokisa Kisula, présidente du parti Congolais Acquis au Progrès (CAP) et de la Fondation Ngudianza, s'est rendue dans le territoire de Luozi profond du 28 au 30 août 2025. Elle était accompagnée de membres de sa fondation, du parti CAP et de Junior Mabaro, membre influent du CAP.
Trois mois avant la suspension de hauts responsables de la police à Boma, la Fondation Clinton Bamana avait déjà tiré la sonnette d’alarme. En mai 2025, face à la montée inquiétante de l’insécurité, la fondation avait mis en lumière de possibles complicités au sein des services de sécurité. L’analyse de Me Clinton Bamana, président de fondation, trouve aujourd’hui une confirmation nette dans la décision prise par le gouverneur de province.
L’administrateur du territoire de Kasangulu est critiqué pour son inaction face au déboisement d'un espace vert derrière son bureau. Les arbres sont coupés pour alimenter les fours des boulangers et des briqueteries, un acte qui soulève des questions sur son engagement et sa capacité à protéger l'environnement et les biens publics.
Si les mesures sécuritaires prises après les violences du 28 août à Boma étaient nécessaires, elles demeurent insuffisantes. À travers cette analyse, la rédaction appelle les autorités à privilégier l’écoute, la transparence et la réconciliation afin de restaurer la confiance entre la population et l’État et d’ouvrir la voie à une paix durable.